Ce ki est tué n’est plus à tuer.
Dans l’doute, frappe plus fort.
Des koups et des douleurs, y faut pas héziter
Hache ki tranche amass’ pas rouille.
Hache ki rouille amass’ pas tête
Hache à deux mains est mère d’sûreté.
Y faut battre la chair tant k’elle est enkore chode.
Y faut prendre l’minotore par les kornes.
Y faut pas vendre lé zékailles du dragon avant d’l’avoir tué.
Les bons kombats font les bons ennemis.
On change pas une hache ki tranche.
La vengeanss’ vient en vengeant.
L’malheur dé zoms fait l’bonheur dé zorcs.
On fait viande d’tout zom.
Les koups s’suivent et s’ressemblent pas.
Les petits kombats font les grandes guerres.
Mort promiz, mort due.
Tuera bien ki tuera l’dernier.
Plus on est d’orcs, plus on hurle.
Kan on parle du dragon, on en voit la keue.
Ki veut voyager vite tabass’ sa monture.
Tant va la hache au kask k’à la fin, elle s’kass’.
Troll affamé a pas d’oreilles.
Un snotling d’perdu, dix d’retrouvés !
Si ça râle enkore, frappe plus fort !
Tuer est jouer
Tout vient à point à ki sait kogner
Epée émoussée fait durer l’plaizir
Tous les matins tape un snotling, si tussé pas pourkoi, lui non plus
Y faut pas tuer l’nabot, mé l’lancer sur lé zotr’.
En kas d’pépin, y faut être bourrin.